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L’exemple des déchets

Développement durable: l’exemple des déchets

La protection de la santé notamment de la qualité de l’air (le cas de l’incinérateur d'ordures ménagères implanté à Vaux-le-Pénil (77) le rappelle).

Les ressources

Aujourd’hui, il est essentiel d’agir face à la raréfaction de certaines ressources voire de pénurie de matières premières et d’augmentation des coûts. Rappelons que pour certaines d’entre elles, le rythme projeté des demandes ne permettra pas d’y répondre, même en utilisant les ressources « paradoxales » que sont aujourd’hui les décharges.

Les coûts

La gestion des déchets représente aujourd'hui un véritable enjeu financier, en raison de l'augmentation croissante des coûts. Limiter le recours à l’incinération ou à l’enfouissement permet de diminuer les coûts qui pèsent sur les familles.

L’incinération, productrice de chaleur, pourrait être une fausse amie car elle nécessite en intrants des déchets et pourrait ne pas encourager … à leur réduction.

Engager une politique de prévention sans tarder

Le rôle des collectivités territoriales dans la prévention est donc majeur et plus particulièrement depuis le 1er janvier 2012, date à laquelle il leur revient de mettre en oeuvre des programmes locaux de prévention des déchets ménagers et assimilés.

Elles peuvent agir.

MAIS A GRAND PARIS SUD, POUR LE RAPPORT ANNUEL, LA PREVENTION VIENDRA PLUS TARD …. DANS LES PERSPECTIVES ET PROJETS A VENIR !!!!!

Si on peut comprendre la nécessité de revoir les marchés, il est incompréhensible que la question de la prévention ne soit pas anticipée et débattue.

Une réflexion prospective publique est nécessaire pour un projet de territoire.

Aujourd’hui trois structures traitent les déchets des communes de Grand Paris Sud :

ü Le SIREDOM (Syndicat Intercommunal pour le Recyclage et l’Energie par les Déchets et Ordures Ménagères (177 communes en Essonne et en Seine-et-Marne) ;

ü Le SMITOM-LOMBRIC est le syndicat de collecte et de traitement des déchets ménagers du Centre Ouest Seine et Marnais (67 communes en Seine-et-Marne) ;

ü Le SIVOM - Vallée de l'Yerres et des Sénarts (15 communes en Essonne, Seine-et-Marne et Val de Marne).

 

On doit s’inspirer des meilleures pratiques de ces syndicats et conserver à l’esprit, la nécessité impérative de diminuer la production des déchets.

 

Si on peut comprendre la difficulté à conduire des démarches partagées avec des structures très différentes que sont ces syndicats, c’est maintenant que l’on doit commencer la réflexion organisationnelle et surtout qu’une démarche de sensibilisation, globale et démultiplicatrice, doit être menée vers la population.

Des collectivités territoriales engagées

Des collectivités territoriales ont mis en oeuvre un programme local de prévention des DMA (Cf. le guide de l’ADEME), obligatoire depuis le 1er janvier 2012, avec des mots clefs que certains élus de Grand Paris Sud semblent mal connaître : gouvernance, consultation, diagnostic, ….

Certaines collectivités territoriales ont mis en place progressivement la tarification incitative (TI) consiste à faire payer à l’usager (particulier ou professionnel) le service de gestion des déchets selon la quantité produite. Elle peut prendre la forme d’une taxe incitative (TEOMi) ou d’une redevance incitative (REOMi). La tarification peut varier en fonction du volume ou du poids de déchets collectés, ou du nombre d’enlèvements des bacs.

C’est le cas par exemple de communautés de communes ou d’agglomération : Saintes, Haguenau, Forbach, Grand Besançon, ….

Il est pour cela nécessaire d’anticiper dans de nombreux domaines comme par exemple l’habitat.

Un programme local de prévention des Déchets Ménagers et Assimilés (DMA) urgent

Recycler 50 % des déchets ménagers d’ici à 2020 est l’objectif que s’était fixé l’Union européenne en 2008.

Le Programme national de prévention des déchets 2014-2020 prévoit en particulier la baisse de 10% de la production de déchets ménagers et assimilés par habitant de 2010 à 2020.

OU EN EST GRAND PARIS SUD ? QUELS SONT LES OBJECTIFS POUR 2020 ?

La mise en oeuvre d’un programme local de prévention des DMA est urgente.

Ses actions futures ne peuvent :

ü être limitées par « l’optimisation des prestations de collecte » et donc les nouveaux marchés ;

ü concerner uniquement la population : la communauté d’agglomération et les communes, les acteurs économiques doivent être exemplaires et s’insérer concrètement et publiquement dans le programme local de prévention.

 

Les enjeux de développement durable présentés dans ce texte doivent être prioritaires car protecteurs et économiquement efficaces pour les habitants.

 

Grand Paris Sud Eco citoyen considère :

ü qu’il s’agit d’une opportunité forte en faveur de la réduction des gaspillages et des déchets ;

ü qu’il est nécessaire d’associer au plus tôt toutes les parties prenantes dont les habitants.

 

En matière de développement durable, le rapport 2018 sur la situation de la communauté d’agglomération Grand Paris Sud Seine-Essonne-Sénart commencerait alors à avoir du sens.

Le meilleur déchet est celui que l’on ne produit pas

GRAND PARIS SUD ECO CITOYEN DEMANDE LA CREATION D’UNE VRAIE DYNAMIQUE CITOYENNE A L’OCCASION DE L’ELABORATION DU PROGRAMME LOCAL DE PREVENTION DES DECHETS MENAGERS ET ASSIMILES (DMA) ET EST PRET A Y PARTICIPER DANS LA TRANSPARENCE

« A Grand Paris Sud, inventer l’avenir, c’est dans notre ADN » (Voeux 2017)

Alors chiche ! Inventons ENSEMBLE un avenir DURABLE, pour engager une politique de prévention sans tarder !

La protection de la santé notamment de la qualité de l’air (le cas de l’incinérateur d'ordures ménagères implanté à Vaux-le-Pénil (77) le rappelle).

Les ressources

Aujourd’hui, il est essentiel d’agir face à la raréfaction de certaines ressources voire de pénurie de matières premières et d’augmentation des coûts. Rappelons que pour certaines d’entre elles, le rythme projeté des demandes ne permettra pas d’y répondre, même en utilisant les ressources « paradoxales » que sont aujourd’hui les décharges.

Les coûts

La gestion des déchets représente aujourd'hui un véritable enjeu financier, en raison de l'augmentation croissante des coûts. Limiter le recours à l’incinération ou à l’enfouissement permet de diminuer les coûts qui pèsent sur les familles.

L’incinération, productrice de chaleur, pourrait être une fausse amie car elle nécessite en intrants des déchets et pourrait ne pas encourager … à leur réduction.

Engager une politique de prévention sans tarder

Le rôle des collectivités territoriales dans la prévention est donc majeur et plus particulièrement depuis le 1er janvier 2012, date à laquelle il leur revient de mettre en oeuvre des programmes locaux de prévention des déchets ménagers et assimilés.

Elles peuvent agir.

MAIS A GRAND PARIS SUD, POUR LE RAPPORT ANNUEL, LA PREVENTION VIENDRA PLUS TARD …. DANS LES PERSPECTIVES ET PROJETS A VENIR !!!!!

Si on peut comprendre la nécessité de revoir les marchés, il est incompréhensible que la question de la prévention ne soit pas anticipée et débattue.

Une réflexion prospective publique est nécessaire pour un projet de territoire.

Aujourd’hui trois structures traitent les déchets des communes de Grand Paris Sud :

ü Le SIREDOM (Syndicat Intercommunal pour le Recyclage et l’Energie par les Déchets et Ordures Ménagères (177 communes en Essonne et en Seine-et-Marne) ;

ü Le SMITOM-LOMBRIC est le syndicat de collecte et de traitement des déchets ménagers du Centre Ouest Seine et Marnais (67 communes en Seine-et-Marne) ;

ü Le SIVOM - Vallée de l'Yerres et des Sénarts (15 communes en Essonne, Seine-et-Marne et Val de Marne).

 

On doit s’inspirer des meilleures pratiques de ces syndicats et conserver à l’esprit, la nécessité impérative de diminuer la production des déchets.

 

Si on peut comprendre la difficulté à conduire des démarches partagées avec des structures très différentes que sont ces syndicats, c’est maintenant que l’on doit commencer la réflexion organisationnelle et surtout qu’une démarche de sensibilisation, globale et démultiplicatrice, doit être menée vers la population.

Des collectivités territoriales engagées

Des collectivités territoriales ont mis en oeuvre un programme local de prévention des DMA (Cf. le guide de l’ADEME), obligatoire depuis le 1er janvier 2012, avec des mots clefs que certains élus de Grand Paris Sud semblent mal connaître : gouvernance, consultation, diagnostic, ….

Certaines collectivités territoriales ont mis en place progressivement la tarification incitative (TI) consiste à faire payer à l’usager (particulier ou professionnel) le service de gestion des déchets selon la quantité produite. Elle peut prendre la forme d’une taxe incitative (TEOMi) ou d’une redevance incitative (REOMi). La tarification peut varier en fonction du volume ou du poids de déchets collectés, ou du nombre d’enlèvements des bacs.

C’est le cas par exemple de communautés de communes ou d’agglomération : Saintes, Haguenau, Forbach, Grand Besançon, ….

Il est pour cela nécessaire d’anticiper dans de nombreux domaines comme par exemple l’habitat.

Un programme local de prévention des Déchets Ménagers et Assimilés (DMA) urgent

Recycler 50 % des déchets ménagers d’ici à 2020 est l’objectif que s’était fixé l’Union européenne en 2008.

Le Programme national de prévention des déchets 2014-2020 prévoit en particulier la baisse de 10% de la production de déchets ménagers et assimilés par habitant de 2010 à 2020.

OU EN EST GRAND PARIS SUD ? QUELS SONT LES OBJECTIFS POUR 2020 ?

La mise en oeuvre d’un programme local de prévention des DMA est urgente.

Ses actions futures ne peuvent :

ü être limitées par « l’optimisation des prestations de collecte » et donc les nouveaux marchés ;

ü concerner uniquement la population : la communauté d’agglomération et les communes, les acteurs économiques doivent être exemplaires et s’insérer concrètement et publiquement dans le programme local de prévention.

 

Les enjeux de développement durable présentés dans ce texte doivent être prioritaires car protecteurs et économiquement efficaces pour les habitants.

 

Grand Paris Sud Eco citoyen considère :

ü qu’il s’agit d’une opportunité forte en faveur de la réduction des gaspillages et des déchets ;

ü qu’il est nécessaire d’associer au plus tôt toutes les parties prenantes dont les habitants.

 

En matière de développement durable, le rapport 2018 sur la situation de la communauté d’agglomération Grand Paris Sud Seine-Essonne-Sénart commencerait alors à avoir du sens.

Le meilleur déchet est celui que l’on ne produit pas

GRAND PARIS SUD ECO CITOYEN DEMANDE LA CREATION D’UNE VRAIE DYNAMIQUE CITOYENNE A L’OCCASION DE L’ELABORATION DU PROGRAMME LOCAL DE PREVENTION DES DECHETS MENAGERS ET ASSIMILES (DMA) ET EST PRET A Y PARTICIPER DANS LA TRANSPARENCE

« A Grand Paris Sud, inventer l’avenir, c’est dans notre ADN » (Voeux 2017)

Alors chiche ! Inventons ENSEMBLE un avenir DURABLE

Pour engager une politique de prévention sans tarder !

Date de dernière mise à jour : 13/02/2020